Cette publication raconte d’autres formes de mobilisation, imaginées par des collectifs citoyens en travaillant à partir et avec la plante. Ce sont deux histoires – dans l’une, la valorisation du maïs de pays contre la perte des variétés locales, de l’emploi et du patrimoine ; dans l’autre, la pomme de terre contre la bétonisation du territoire et contre la construction d’une méga-prison – qui montrent comment la plante a pris un rôle central pour mener un travail de mobilisation et revendications citoyennes.
« La plante fédère de nombreuses personnes parce qu’elle amène une dimension qui nous dépasse, qui transcende les différences : elle réunit, fédère, rapproche et met en contact des personnes qui pourraient croire qu’elles n’ont rien en commun. »
C’est avec ce message que la publication se termine après avoir abordé plusieurs clés sur la manière de s’y prendre pour un travail de mobilisation citoyenne autour de la plante et du territoire.